un petit casse...et ses conséquences

Le casse se passe bien... le nain ouvre les portes, le mendiant surveille depuis la rue, le marchand se prépare à évaluer la marchandise, et les deux combattants partent devant pour nettoyer la place. Ce groupe séparé se retrouve vite, chacun de son côté, face à des gardes bien armés et pas sympas. Les cambrioleurs sont vite amenés dans une pièce du sous-sol où les retrouve Dame Elyda qui leur montre une lettre. Ils tombent sur un accord : quelqu'un en veut aux cambrioleurs, et sans doute aussi à Dame Elyda. Elle les laisse s'en aller pour cette fois, sûre de leur bonne foi. Un peu risqué pour elle? Peut-être, mais qui ne tente rien n'a rien.

Et nous voilà avec un groupe de petits criminels pas jouaces car ayant la vague impression de s'être faits entuber. Pas rigolo, pas agréable, et frustrant. Remonter les contacts qui leur ont filé le job ne donne rien ; c'est un contact d'un contact d'un contact, etc. A la Grande Cour, personne ne semble connaître Izim. Chacun tente ses relations, mais rien.
Jusqu'au jour où, par un fabuleux coup du sort, le mercenaire du groupe tombe sur Izim sortant ivre d'une taverne non loin de chez lui. Il l'emmène, regroupe ses amis, et l'interrogatoire commence, pour finalement apprendre que Izim n'est qu'un intermédiaire qui ne sait pas grand chose. Son seul contact? Il n'en connait pas le nom : un khaler avec barbe tressée, bandeau sur l'oeil et tatoos de sabres sur les avants-bras, rencontré sur le port...